600 pages, ce n’était pas gagné – et pas une photo, rien que du texte (à part la magnifique photo de couverture avec le Rebbe de Lelov qui fait havdala)
Je retiens de cet ouvrage très bien documenté deux points saillants (au moins):
1. 600 pages, ce n’était pas gagné – et pas une photo, rien que du texte (à part la magnifique photo de couverture avec le Rebbe de Lelov qui fait havdala)
Je retiens de cet ouvrage très bien documenté deux points saillants (au moins):
1. Contrairement à l’idée reçue, le hassidisme ne s’est pas développé uniquement dans les couches populaires qui avaient peu accès aux textes ; des lettrés ont également été conquis par ce nouveau mouvement.
2. Les conflits internes ont favorisé la ramification en de nombreux groupes qui ont occupé le terrain dans toutes les régions de l’Europe de l’Est – de manière inattendue, c’est grâce aux guerres de succession et aux oppositions doctrinales entre cours que le hassidisme s’est renforcé, en essaimant un peu partout !
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